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  • Villa Vassilieff

    Villa Marie Vassilieff
    Chemin de Montparnasse
    21 avenue du Maine

    75015 Paris
    +33.(0)1.43.25.88.32
  • Bourse de recherche Chaire Global South(s) à la Maison des Sciences de l’Homme
  • Événements
  • Bourse de recherche Chaire Global South(s) à la Maison des Sciences de l’Homme

    Dans le cadre de leur col­­la­­bo­­ra­­tion, la Villa Vassilieff et le Collège d’études mon­­dia­­les / FMSH ont lancé un appel à can­­di­­da­­ture pour un séjour de recher­­che de 6 semai­­nes adres­­sés aux cher­­cheurs en Sciences Humaines et Sociales rési­­dant hors de France, éga­le­ment ouvert aux artis­­tes. Le/la cher­­cheur/euse tra­­vaille d’une part en lien avec la Chaire Global South(s) diri­­gée par Françoise Vergès et de l’autre avec l’équipe de la Villa Vassilieff, autour d’une recher­che s’ins­cri­vant dans le cadre de la poli­­ti­­que scien­­ti­­fi­­que géné­­rale du Collège d’études mon­­dia­­les et tout par­­ti­­cu­­liè­­re­­ment avec au moins l’une des thé­­ma­­ti­­ques sui­­van­­tes déve­­lop­­pées au sein de la chaire Global South(s) : étudier la cir­­cu­­la­­tion des idées et des moda­­li­­tés de pro­­duc­­tion artis­­ti­­ques et cultu­­rel­­les entre l’Europe et le monde ; étudier dans une pers­­pec­­tive cri­­ti­­que les dif­­fé­­ren­­tes moda­­li­­tés de repré­­sen­­ta­­tion de l’ « autre ».

    La Villa Vassilieff pren­d en charge les frais de voyage du cher­­cheur et le Collège d’études mon­­dia­­les lui attri­­bue une allo­­ca­­tion de 3.300€ pour les 6 semai­­nes de rési­­dence afin de sou­­te­­nir les frais de séjour.

    Le/la cher­­cheur/se invité/e béné­­fi­­cie d’un accom­­pa­­gne­­ment sur mesure fait de ren­­contres par­­ti­­cu­­liè­­res avec des cher­­cheurs et des pro­­fes­­sion­­nels de l’art, de l’accès à un riche réseau d’ins­­ti­­tu­­tions en France et à l’étran­ger. Les cher­­cheurs pro­­fi­­tent aussi des nom­­breux pro­­gram­­mes de recher­­ches déve­­lop­­pés par la Villa Vassilieff en col­­la­­bo­­ra­­tion avec des musées, des archi­­ves publi­­ques et pri­­vées, des uni­­ver­­si­­tés (comme par exem­­ple le réseau inter-uni­­ver­­si­­taire Usages des Patrimoines Numérisés, dont la Villa Vassilieff est partie pre­­nante) ou encore des écoles d’art, l’accent étant mis sur des res­­sour­­ces rare­­ment explo­­rées. Enfin, les cher­­cheurs sont invi­­tés à par­­ti­­ci­­per au pro­­gramme vivant d’évé­ne­ments se dérou­­lant au sein du Collège d’études mon­­dia­­les et de la Villa Vassilieff.

    L’appel à can­di­da­tu­res est clos pour l’année 2017. Un pro­chain appel à can­di­da­tu­res sera publié au prin­temps 2017.


    BOURSIER 2017 : ANTARIKSA

    Le cher­cheur indo­né­sien Antariksa (Kunci Cultural Studies Center) sera le béné­fi­ciaire de cette bourse en 2017.

    Portrait de Tsuguharu Foujita par Jean Agélou. Source : Wikimedia Commons

    Antariksa est his­to­rien et membre co-fon­da­teur KUNCI - Cultural Studies Centre, Yogyakarta, Indonésie – un col­lec­tif de recher­che dont les inté­rêts conver­gent autour de la pro­duc­tion du savoir, la recher­che-action et l’éducation ver­na­cu­laire. Il est l’auteur de Tuan Tanah Muda : Hubungan LEKRA-Seni Rupa 1950-1965 [Tuan Tanah Kawin Muda : La rela­tion entre art et l’Institut de la Culture Populaire 1950-1965] (CAF/IVAA, 2005). Ses prin­ci­pa­les recher­ches concer­nent l’art et la mobi­lité des idées en Asie du Sud-Est sous l’occu­pa­tion japo­naise. Il tra­vaille à pré­sent sur sa nou­velle publi­ca­tion 日本占領期のインドネシアにおけるアート集団主義 [Le col­lec­ti­visme artis­ti­que en Indonésie, durant l’occu­pa­tion japo­naise] (Kyushu University Press, 2017). Antariksa est actuel­le­ment cher­cheur asso­cié à l’Institute of Southeast Asian Studies (ISEAS) - Yusof Ishak Institute, Singapour.

    Recherches :
    « Mes recher­ches à Paris s’ins­cri­vent dans la conti­nuité de celles en cours sur le col­lec­ti­visme artis­ti­que en Indonésie durant l’occu­pa­tion japo­naise, axées autour de la col­lecte d’archi­ves et de récits oraux notam­ment grâce à des entre­tiens en Indonésie, au Japon, aux Pays-Bas et à Singapour. Mes recher­ches ten­tent de ras­sem­bler et d’ana­ly­ser des archi­ves (archi­ves d’écoles d’art, cata­lo­gues d’expo­si­tion, pho­to­gra­phies…) afin de mieux com­pren­dre l’expé­rience des artis­tes japo­nais à Paris pen­dant la guerre (Fujita Tsuguharu, Miyamoto Saburō, Mukai Junkichi, Inokuma Gen’ichirō, et Ihara Usaburō pour en citer quel­ques uns) ainsi que leurs inte­rac­tions avec les com­mu­nau­tés et col­lec­tifs d’artis­tes à Paris. Je cher­che à iden­ti­fier la trans­mis­sion d’une esthé­ti­que « occi­den­tale » de Paris à l’Indonésie en pas­sant par le Japon et les moda­li­tés de cette trans­mis­sion : com­ment elle s’est effec­tuée, com­ment elle a influencé l’idée d’esthé­ti­que et notre mémoire visuelle de la période de la guerre au Japon et en Indonésie. »

    Antariksa au Salon de lecture Jacques Kerchache Antariksa au Salon de lecture Jacques Kerchache


    La Fondation Maison des scien­ces de l’homme (FMSH), créée en 1963 par l’his­to­rien Fernand Braudel, a pour but de pro­mou­voir l’étude des socié­tés humai­nes et la recher­che en scien­ces humai­nes et socia­les, en rela­tion avec les autres champs du savoir.
    Elle a pour mis­sion l’inter­na­tio­na­li­sa­tion de la recher­che en SHS, en favo­ri­sant la mobi­lité et l’accueil de cher­cheurs, l’incu­ba­tion de pro­jets de recher­che à carac­tère inter­dis­ci­pli­nai­res et col­la­bo­ra­tifs, la dif­fu­sion des connais­san­ces et la valo­ri­sa­tion de la recher­che.
    Elle accueille et pro­meut des infra­struc­tu­res ou ins­tru­ments col­lec­tifs de recher­che, ainsi que des réseaux ins­ti­tu­tion­nels natio­naux en SHS. Elle a pour voca­tion l’accueil de fon­da­tions abri­tées ayant un lien étroit avec son objet social.
    Fondation privée reconnue d’uti­lité publi­que (FRUP), elle est des­ti­née à rece­voir des finan­ce­ments pour la réa­li­sa­tion d’acti­vi­tés d’inté­rêt géné­ral et à but non lucra­tif liés à ses mis­sions.
    Plus d’infor­ma­tions ici.

    Le Collège d’études mon­dia­les, créé en 2011 par le socio­lo­gue Michel Wieviorka, est un espace intel­lec­tuel où des pro­jets diri­gés par des cher­cheurs inter­na­tio­naux se déve­lop­pent dans un cadre réso­lu­ment plu­ri­dis­ci­pli­naire.
    Il pro­meut de nou­vel­les façons de réflé­chir et de tra­vailler : la recher­che du phi­lo­so­phe et de l’économiste, celle du méde­cin et du poli­tiste, du lit­té­raire et de l’anthro­po­lo­gue se nour­ris­sent mutuel­le­ment dans la com­pré­hen­sion des chan­ge­ments qui carac­té­ri­sent le monde contem­po­rain.
    L’acti­vité scien­ti­fi­que du Collège est orga­ni­sée autour de trois axes : "Nouvelles normes et ins­ti­tu­tions", "Repenser le social" et "Subjectivités : pro­duc­tions et savoirs", qui visent à étudier ces chan­ge­ments, indi­vi­duels et sys­té­mi­ques.
    Le fonc­tion­ne­ment du Collège s’arti­cule autour de chai­res, d’ini­tia­ti­ves (incu­ba­tion de pro­gram­mes) et de sémi­nai­res de recher­che.
    Plus d’infor­ma­tions ici.

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